AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur Moulinex Companion ...
600 €
Voir le deal

 

 Vote : Petits frissons entre fogois

Aller en bas 
+3
QueenD
bangelforever
EyPi
7 participants

Quel est le meilleur conteur ?
Bangelforever
Vote : Petits frissons entre fogois Vote_lcap11%Vote : Petits frissons entre fogois Vote_rcap
 11% [ 1 ]
EyPi
Vote : Petits frissons entre fogois Vote_lcap67%Vote : Petits frissons entre fogois Vote_rcap
 67% [ 6 ]
Kusum
Vote : Petits frissons entre fogois Vote_lcap0%Vote : Petits frissons entre fogois Vote_rcap
 0% [ 0 ]
Sophi@
Vote : Petits frissons entre fogois Vote_lcap0%Vote : Petits frissons entre fogois Vote_rcap
 0% [ 0 ]
Tru
Vote : Petits frissons entre fogois Vote_lcap22%Vote : Petits frissons entre fogois Vote_rcap
 22% [ 2 ]
Total des votes : 9
 

AuteurMessage
EyPi
Modératueuse
Modératueuse
EyPi


Féminin Nombre de messages : 2093
Age : 40
Localisation : Papouille son chat imaginaire
Date d'inscription : 31/03/2005

Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_minipostedVen 8 Déc - 20:26

On le demande : le voilà !!!
Le vote pour déterminer le meilleur conteur d'histoires frissonnantes !
Je remet les fics (j'ai gardé les mises en page) comme ça au cas où certaines personnes en auraient loupées ^^
... me souvenais plus qu'on avait été aussi peu ...

Bangelforever

Une haute silhouette se détachait dans l’ombre. Ses pas étaient rythmés sur ceux de la jeune fille qu’il suivait depuis maintenant plus de 5minutes. Elle n’avait toujours rien remarqué.

Il était près de 4h du matin. Kate rentrait chez elle passablement éméchée, les yeux dans le vague. Dans son esprit les brumes de la soirée se mêlaient à celles qui envahissaient la rue dans laquelle elle marchait. Tout n’était que silence. Silence et ombres, des ombres qui se mouvaient lentement, s’enfuyaient pour réapparaître n’ importe où dans un ballet effrayant. Devant Kate s’étendait l’asphalte jonché de détritus d’une rue de Los Angeles. Derrière elle, le néant.

10 minutes. La proie était là quelques mètres devant. Elle avançait lentement, comme si elle l’invitait à venir s’emparer d’elle. Son regard fou n’avait de cesse d’observer ce déhanchement délicat, altéré par les nuisances de l’alcool. L’esprit de la jeune fille était embrumé par la boisson, celui de son poursuivant par la drogue.

Kate marchait toujours, ses pas incertains. Soudain, un bruit derrière elle. Elle se retourna brusquement, à deux doigts de tomber. Il n’y avait personne. Ni devant, ni derrière ni à ses côtés. Elle était seule.

12 minutes. Enfin elle s’était retournée. Elle avait perçu un bruit. La traque continuait.

La marche continuait. Mettre un pied devant l’autre, encore et toujours sans rien pour troubler la monotonie du décor. Kate se retourna, ayant senti inconsciemment un regard posé sur elle.
Toujours rien. Elle accéléra le pas.

14 minutes. La proie allait plus vite après s’être retournée une seconde fois. Chasser est une affaire de patience.

Un autre bruit rompit le silence pesant. Semblable au précédent, il s’était cependant rapproché. Kate accéléra de nouveau.

17 minutes. La proie accéléra encore. Toujours suivre la proie.

Kate se rendit compte avec un effroi grandissant qu’elle était déjà passée dans cette rue. Son souffle se fit plus rapide, elle se retourna par deux fois sans rien distinguer. Ses pupilles s’écarquillèrent, la peur commença à poindre dans son esprit soudain libéré des effluves de l’alcool qui l’emprisonnait peu auparavant.

19 minutes. Elle avait cette sensation d’être surveillée en permanence, de ne faire aucun mouvement, aucun geste qui ne soit immédiatement remarqué. Son cœur battait plus vite. Ses pas étaient plus rapides. Sa peur était croissante.

20 minutes. Kate se retourna pour la énième fois quasi-certaine d’être suivit.

21 minutes. La peur quasi palpable de la proie était délectable

Elle se mit à courir après avoir jeté un regard en arrière.

22 minutes. La proie courait. La fin était proche.

Le bruit était revenu, régulier menaçant. Il faisait échos au son de ses propres pas qui battaient le sol en courant.

23 minutes. Kate courait dans la ville. Elle poussa un cri.

23 minutes toujours. Il est l’heure.

La jeune fille entendit le bruit se rapprocher encore et toujours, irrémédiablement. Elle accéléra encore. Peine perdue.

24 minutes. Une main s’abattit sur son épaule, avec une violence telle que ses yeux s’embuèrent sous le choc. Le hurlement qui sortit de sa bouche était déformé par la peur.

25 minutes. Fin de la chasse.

Kate s’effondra. Sa terreur emplissait l’air. Elle était partout. Kate la ressentait du plus profond de son être. La panique l’enveloppait et la choyait, la berçait en son ignoble sein. Kate était seule, entourée par la frayeur et par son maître, une silhouette qui se penchait sur elle, un sourire malsain qui avait tout d’un rictus déformant les traits que l’on devinait à peine. Bienvenue à Hell A : la cité des anges, l’antre des démons.

EyPi

De marbre


Elle étouffait.

Elle avait mal.

Physiquement.

… mais pas seulement.

Elle étouffait mais ce n’était pas uniquement à cause du manque d’air qui se faisait sentir, lui brûlant les poumons.

Elle avait mal mais ce n’était pas la douleur de ses doigts meurtris et ensanglantés qui la faisaient le plus souffrir.

Mais tout son être.

Elle saignait de l’intérieur, chaque parcelle de son corps la tiraillant sournoisement, chaque reste de vie lui rappelant que la sienne allait finir.

Elle était en morceaux tout entière.

Pas exclusivement son cœur.

Même si elle croyait que celui-ci s’était propagé au reste, gonflant à l’infini, attendant le meilleur moment pour exploser en un dernier sanglot.

Elle voyait sa vie passer devant ses yeux qui regardaient grand ouvert l’obscurité devant eux. Elle s’acharnait à les garder ouverts espérant voir une lueur salvatrice.

Sentant à chaque seconde qui passait, sa fin arriver un peu plus.

Ses pleurs au début salés n’étaient plus que larmes de sang.

Personne ne la sauverait.

Pas ses amis.

-


Elle sait que la mort va arriver alors pourquoi ? Pourquoi ne peut-elle s’empêcher de cogner, de gratter les parois de marbre à s’en briser les poings et à s’en arracher les ongles ? Pourquoi ne peut-elle pas arrêter de hurler à l’aide, criant des noms dont elle sait que les propriétaires ne viendront pas, respirant ainsi à pleine capacité cet air déjà lourd de son tombeau ?

Enterré vivante.

Non …

Emmurée vivante. Dans un sarcophage de pierre.

Avec le bois, sait-on jamais elle aurait pu en ressortir.

Là. Aucune chance.

C'était terminé. Son esprit l'avait compris. Et pourtant ses entrailles se tordaient sourdement devant ce constat.

Elle frappait dans le vide, se râpant inutilement la peau, saignant pour l’éternité dans sa boite.

Ils le savaient.

Ils la connaissaient.

Ses tortionnaires.

-


Elle s’était réveillée quelques heures plus tôt, sentant immédiatement la sensation de froid contre ses membres. Et ressentant surtout sa tête lourde comme au lendemain d’une cuite. Pourtant elle n’avait bu qu’un thé avec sa meilleure amie.

Meilleure amie dont elle percevait à présent le visage penché au dessus d’elle à travers ses yeux encore mi-clos. Puis d’autres visages.

Le reste de l’équipe.

Le reste de ceux qu’elle avait choisi comme amis.

Comme confidents.

Comme famille.

Que des visages fermés et sérieux.

Comme quand l’apocalypse pointait son nez.

- Nous sommes désolés Buffy.

Désolés ?

Mais pourquoi ?

Encore enfermée dans sa tête, elle vivait la scène de l’extérieur.

Regardant avec horreur la lumière disparaître de sa vision, au fur et à mesure qu’était placée la dalle de marbre blanc, froide et sombre.

Sentant son corps se ballotter alors qu’on la descendait.

Entendant la terre la recouvrir peu à peu.

-


Puis plus rien.

-


On la tuait.

ILS la tuaient !!!!

Et ils étaient restés de marbre en la regardant s’éveiller une dernière fois, en la laissant volontairement contempler ses meurtriers.

-


Alors non personne ne la sauverait.

Pas ces personnes qu’elle croyait être ses amis.

Elle leur aurait confié sa vie les yeux fermés et voilà qu’il la prenait.

Comme ça, sans explication.

Pourquoi donc ?

Ils étaient guidés par un être démoniaque ?!? Depuis quand ?

Non, sinon pourquoi s’excuser alors qu’aucune émotion ne transparaissait sur leurs visages. Et un démon l’aurait tué sur le champ, devant une grande assemblée pour exhiber son cadavre.

Pas une lente et longue agonie.

-


Ses larmes ne coulaient plus.

Ses sanglots étaient étouffés.

Elle n’essayait même plus. Laissant la vie la quitter, sans pour autant accepter sa mort.

Mais à quoi bon vivre ou se battre pour vivre quand plus rien ne nous attend dehors ?

Ses mains refusaient de bouger à nouveau et de frapper contre la pierre jadis blanche mais désormais rouge sang. Mais pu lui importait la couleur, tout était noir.

Lourd.

Etouffant.

Noir.

Envahissant.

Obscure.

… Froid.

Les paupières fermées sur de nouvelles larmes invisibles, elle utilisait ses dernières forces dans un murmure inaudible.

- Willow, Alex, Giles, Willow, Alex, Giles…

Une litanie sans fin qui mourrait avec elle.

- Pourquoi ?

Et qui restera sans réponse.

Du moins dans ce monde.

FIN

La main gantée

- Vous avez vraiment une sale tête, mademoiselle !

-


La jeune femme brune fulminait. Comment cette clocharde puante avait osé lui dire ça ?!? Elle était la déesse de son collège, la fille la plus belle et elle osait lui dire ça ?

Surtout qu’elle lui avait fait peur.

Elle avançait rapidement dans les rues de Sunnydale en rentrant du seul endroit branché de ce petit patelin. Et elle avait déboulé comme ça d’un coup, dénonçant sa « tête de quelqu’un qui attirait le mauvais sort » et l’avertissant de faire attention aux signes …

-


Encore une timbrée …

-


Elle s’emmitoufla dans sa couverture et s’endormit sans y penser.

Le lendemain, il neigeait.

C’était un joli mercredi de décembre.

Il allait falloir se couvrir en conséquences : écharpe, gants, pull … le tout de façon sophistiquée bien sûr.

Elle prit sa douche et alla se maquiller quand elle remarqua que son auriculaire gauche était engourdi.



Sûrement le froid.

Raison de plus pour s’habiller chaudement.

… Pourtant à l’intérieur, il faisait chaud.

Elle finit de se préparer et mit ses bottes.

Un long manteau, les gants dans les poches, elle démarra sa belle voiture et alla à l’école.

Elle allait faire sensation une fois de plus à n’en pas douter.

Elle était seule sur le parking. Heureusement que quelques voitures étaient tout de même stationnées, il ne fallait pas arriver la première.

Il faisait encore nuit. Les journées étaient trop courtes. La lumière artificielle lui allait trop mal au teint.

Elle se retourna pour fermer sa portière quand elle aperçut que maintenant son doigt refusait totalement de bouger.

Essayant vainement de le faire plier à sa volonté, elle jugea qu’il devait réellement faire trop froid. Il valait mieux le réchauffer.

Elle verrouilla sa voiture puis sortit ses gants de sa poche.

« Les signes sont évidents pour qui sait … »

Voilà qu’elle entendait des voix dans sa tête maintenant.



Main droite, aucun problème.

Main gauche … son petit doigt refusait de se glisser dans la douce chaleur réconfortante du gant.

Elle força et sentit cette fois-ci un courant d’air froid dans son dos.

Elle se retourna vivement mais ne vit rien.

Mais sentit.

Sentit quelque chose lui gratter les jambes.

Elle devait s’enfuir.

Cette idée fut la seule qui lui vint à l’esprit. Mais son corps refusait d’obéir.

Elle baissa la tête et vit deux mains remonter le long de ses jambes alors qu’une dizaine d’autres la maintenait sur place, agrippant ses chaussures et ses chevilles.

Elle voulut hurler mais les mains rugueuses et fortes étaient déjà en train de l’étouffer.

-


La Mort s’approcha du corps sans vie à ses pieds et pensa une dernière fois.

« Oser porter des gants un mercredi … je l’avais pourtant prévenue. Dire qu’elle aurait pu avoir un grand destin. Les superstitions ne sont pas faites que pour les enfants. Humains ignares … »

-


Elle ramassa le cadavre de Cordélia et disparut dans l’ombre.

FIN


Samain

31 Octobre – 23h45

-


Willow regardait par la fenêtre. Elle avait entendu du bruit dehors.

Et la région n’avait rien de rassurant.

Il n’y avait que Kennedy pour aimer de telles contrées paumées au sud de l’Angleterre. Elle l’avait suivi. Et n’aimait pas ce paysage qui, elle le sentait, était trop mystique et entouré d’une aura mystérieuse.

Visiblement, il n’y avait rien dehors. Elle avait du rêver …

Quoique …

Si elle regardait bien au loin, elle put voir un halo de lumière sous un arbre.

-


En deux minutes, elle s’était habillée et était sortie en vitesse. Elle ne savait pas ce qui poussait ses jambes à avancer mais elles étaient mues comme si tout dépendait de leur capacité à courir.

-


Mais tout quoi ??

-


La jeune femme rousse atteignit l’arbre mais la forme n’y était plus. Il y avait dans l’atmosphère un doux parfum qui réconfortait Willow. Qui la faisait se sentir bien. Comme elle ne l’avait plus été durant des années. Ce parfum qui lui donnait encore aujourd’hui l’envie de pleurer et de détruire le monde où elle ne pouvait plus le sentir.

Elle sentit dans son dos quelque chose se rapprocher.

- Pardonnes-moi.

Elle savait.

Toutes ses questions balayées en deux petits mots.

Toutes ses appréhensions aussi.

Elle souriait.

- C’est déjà fait.

La forme blanche se colla derrière elle. La rousse commençait à étouffer. Elle sentait la vie quitter son corps. Mais n’en avait que faire.

Elle ne laisserait rien derrière elle.

Kennedy.

Non.

La Tueuse ne pouvait la retenir.

Pourrait-elle lui pardonner elle de la laisser ?

- N’y penses pas.

Le ton était ennuyé.

- Désolée.

- Une seule nuit.


/silence/

Willow attendait tranquillement la suite. Elle se vidait de ses forces et ne pouvait plus parler pour demander la fin de la phrase.

- Une seule nuit par an. C’est tout ce que je pouvais faire. La seule où je pouvais te voir. Mais tu étais avec elle. Je ne pouvais m’approcher plus. Là, tu m’as vue.

…Tu ne me quitteras plus maintenant.

La rousse ferma les yeux et attendit.

Mais rien ne vint.

-


Que le froid.

Elle avait froid.

Elle ne sentait plus la chaleur dégagée par le spectre dans son dos.

Elle ne sentait plus ce doux bonheur entrer en elle au fur et à mesure que sa vie la quittait.

Sa vie revenait en elle alors qu'elle voulait l'en faire sortir.

Un seul murmure sorti de son corps désormais revigoré :

- Tara.

-


Minuit était hélas déjà arrivé.

-


Peu importe.

Elle attendrait ici.

Elle attendrait des centaines de lever et des centaines de couchers de soleil.

Elle attendrait sa délivrance.

Et dans un an jour pour jour.

On la retrouvera couchée sous cet arbre, un sourire aux lèvres.



Sûrement.

-


A Samain, les esprits peuvent rejoindre leurs parents restés derrière eux, les visiter pour s’assurer de leur bonheur …

Et parfois …

Les amener dans leur monde …

Ou pas.


FIN
Revenir en haut Aller en bas
EyPi
Modératueuse
Modératueuse
EyPi


Féminin Nombre de messages : 2093
Age : 40
Localisation : Papouille son chat imaginaire
Date d'inscription : 31/03/2005

Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Re: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_minipostedVen 8 Déc - 20:27

Kusum

Un soir en rentrant chez elle, Sklerijênn découvrit un mot de ses parents lui disant qu’ils seraient absent pour la soirée et qu’il y avait de quoi manger pour elle dans le four. Pensant songeusement à Arzhur, un garçon qui lui plait beaucoup elle met le plat au micro-ondes et se sert un grand verre d’eau. C’est la qu’elle s’apperçeoit qu’il y a une brèche dans le verre et que du sang en coule. Facsinée elle regarde le sang couler le long de sa main sans réagir et laa brèche s’agrandir de plus en plus. Etrangement le sang n’est pas chaud comme il devrait l’être normalmement, mais glacé et tente maintenant de pénétrer la peau de la jeune fille. Réagissant enfin, cette dernière laisse tomber le verre qui se brise sur le sol carrellé. Le sang reste sur son bras et elle commence à sentir un léger picotement. Elle se dirige tout de suite vers l’évier et le rince. Elle se saisit ensuite d’une éponge pour nettoyer l’eau et les morceaux de verre, mais lorsqu’elle baisse la tête il n’y a plus rien, ni eau, ni verre... Ettonnée elle pose l’éponge sur la table ou elle remarque avec stupeur son verre, normal et rempli d’eau.
Pour se changer les idées, elle décide ensuite d’aller prendre un bain, elle fait couler l’eau et commence à se dévêtir, quand à ce moment la, Arzhur, le garçon qui lui plait tant, surgit par la porte, tout en sueur et les vêtements a moitié déchirés. ”Vite, ferme la porte, ils sont à ma poursuite”,puis il saute dans la baignoire. Sans demander plus d’explications, elle s’éxécute. Puis voyant qu’il se vide de son sang, elle le rejoint et essaie de le nettoyer et de stopper l’hémorragie, mais en vain. Là il sortit un revolver de je ne sais où le pointa sur sa tempe ”Adieu, je t’aimais tellement” il l’embrassa puis appuya sur la détente. Elle eu un léger geste de recul puis fondit en larmes et s’endormit ainsi épuisée de peurer et de répéter inlassablement Non, non, pourquoi?... dans l’eau tiède de son bain dont une odeur pestillentielle de sang frais et séché se dégageait peu à peu.
La lumière chaude du petit matin la reveilla en lui léchant le visage, elle pensa immédiatement à Arzhur qui était mort, en ouvrant les yeux elle constata qu’une fois de plus tout avait été soigneusement nettoyé, il n’était plus là lui non plus, si on n’avait pas assisté aux évènements de la veille on aurait juré que rien ne s’était passé...
Troublée elle sortit de chez elle, pour respirer de l’air frais lorsqu’elle remarqua une longue trainée de pétales de roses rouges sur l’asphalte encore tiédi de la nuit précédente qu’elle suivit et qui la mena au cimetière le plus proche, plus précisément à une grande tombe recouverte elle aussi de pétales. Un coup de vent éphémère fit s’envoler en un tourbillon de douceur et de volupté tout les pétales pour révéler une épitaphe terrible gravée en rouge sur le marbre blanc Sklerijênn et Arzhur R.I.P “Morts ensemble” Elle recula sous le choc de cette révélation, puis tomba a genoux et sentit son corps se dissiper dans l’air frais du matin, cinq minutes plus tard il ne restait plus que son pendentif à terre...

Sophi@

¤ Silence dans la nuit ¤

« C’est une fille. fit une voix lointaine.
- Elle paraît innocente, répondit une autre voix avec douceur.
- Peut importe. Elle disparaîtra très bientôt.
- Espérons le, fit la seconde voix comme une complainte.
- Nous ferons tout pour. »

Lise s’éveilla en sursaut. Son front était humide, ses mains cherchaient les draps. Elle était glacé. Le rêve qu’elle venait de faire était des plus étranges. Elle se glissa hors du lit qui émit un grincement. Se frottant les bras pour se réchauffer, elle passa dans le séjour. La maison était si vieille qu’elle craquait à chacun de ses pas. Elle s’assit dans le canapé.
Un bruit la fit sursauté. Un frisson la parcourut. La maison était trop vieille, et le chauffage devait être en panne. Le silence de cette maison, l’odeur de moisit la rendait folle. Un second bruit se fit entendre, elle leva les yeux, c’était comme un grattement continu. Qu’est-ce que cela pouvait être? Le bruit continua, horrible, grattement après grattement, contre une porte en bois, la jeune femme se demanda si le bois n’allait pas céder.
Légèrement inquiète, elle se leva. Des grognements se faisaient entendre, Lise quitta le séjour. Elle tentait d’imaginer une bête s’acharner contre la porte et ça lui faisait peur. Elle se rassura en pensant que c’était un clochard qui vit dans la forêt. Sa grand mère lui avait dit qu’ils n’étaient pas méchant.
Silencieuse, anxieuse, elle posa ma main sur la porte, elle pencha sa tête et la posa contre la porte. Étrangement, le silence se fit. Inquiète, elle s’approcha de la fenêtre, il y avait une ombre devant la porte, celle d’un humain. Elle baissa le regard et soupira. Tout cela était-il réel? Posant ses yeux à travers la fenêtre, elle vit quelque chose allongé à même le sol.
Lise hésita puis ouvrit la porte. Elle vit alors que la chose était une silhouette masculine. Un homme vêtu d’une tenue élégante. Pas un clochard. Il paraissait séduisant. Devait-elle avoir peur? Il faisait encore noir et c’était un homme de plus de vingt-cinq ans.

Quelques minutes après, elle avait remis le chauffe-eau en route. Une tasse de café dans sa main, elle s’installa sur la table basse, croisant les jambes. L’homme était allongé devant elle. Il était beau, très attirant. Elle n’avait jamais été seule avec un homme, elle avait seulement. Il était à sa merci, elle le trouva à son goût et but une gorgée de café.
Le café était mauvais, mais il la réchauffait. Elle posa la tasse sur la table basse. Son bras se tendit, elle amena sa main près du visage de l’homme.. Soudain il bougea, les yeux battirent. Lise s’écarta, surprise, son bras resta suspendu. L’homme la regarda étonné et sourit.
« Je m’appèle Lise, murmura-t-elle. Je vous ai trouvé devant ma porte.
L’homme se releva et s’assit. Il regarda autour de lui, il semblait reconnaître l’endroit.- Vous semblez reconnaître la maison…fit-elle.
- Oui, en effet, murmura-t-il. Elle grince toujours?
- Comment le savez vous?
Elle paraissait surprise, mais pas inquiète.
- J’y ai vécu.
- Quoi?
Lise fronça les sourcils. Pourquoi parlait-il ainsi? Elle tripota son jean usé. Il devait être un fou ou peut-être un psychopathe. Après tout qu’est-ce qui lui prouvait que ce n’était pas lui qui avait griffé la porte? Elle se leva brusquement. Il se contenta de sourire.- Qu’est-ce qui vous fait sourire?!
- Avez-vous déjà été draguée par un fantôme?
Elle sentit ses lèvres s’entrouvrir tandis que ses pupilles s’agrandirent. Elle s’écarta de cet homme. Un fantôme? Un froid glacial l’envahit.« Le jeune maître n’est pas drôle du tout. » chuchota une voix.
Lise sursauta. C’était une des voix qu’elle avait entendu dans son rêve. Elle se tourna, il y avait une forme translucide. Lise sentit sa lèvre supérieur trembler. S’écartant lentement, elle entendit une autre voix.
« Allons petite, n’ai pas peur. »
Lise manqua de hurler. Devenait-elle folle? Ses parents la retrouveraient sous son lit, tremblante et muet. L’homme souriait encore.
- Je voulais te voir avant que…
Lise ne put rester une minute de plus, n’écoutant plus sa raison, elle se mit à courir pour sortir. La porte se referma. Le silence qui régnait dans la maison était plus qu’effrayant. Lise préférait être dehors.
Sans qu’elle sache pourquoi, elle se sentit basculer tandis que des pointes s’enfonçaient dans sa chair. Elle tomba brutalement sur le sol, la douleur se diffusa complètement en elle.

« A bientôt jolie mademoiselle » fit la voix de l’homme.
Revenir en haut Aller en bas
EyPi
Modératueuse
Modératueuse
EyPi


Féminin Nombre de messages : 2093
Age : 40
Localisation : Papouille son chat imaginaire
Date d'inscription : 31/03/2005

Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Re: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_minipostedVen 8 Déc - 20:28

Tru

L'enfer blanc

Par un sombre jour d'hiver, tandis que les habitants d'un village vaquent à leurs occupations ; dans la campagne avoisinante, le silence régne. Aucun piaillement d'oiseau, pas de cris d'animaux, pas de vent dans les feuilles, juste un silence épais, lourd, à tel point que c'en est oppressant. A l'inverse, le village respire la joie de vivre, les gens discutent, se préparent à fêter le meilleur jour de l'année, Noël. La neige qui commence à tomber amuse les enfants qui jouent avec, tandis que dans la campagne, cette même neige étouffe tout, recouvrant la moindre parcelle de couleur d'un linceul blanc opaque, comme pour faire disparaître tout signe de vie. La neige a déjà commencé à recouvrir les champs, et les routes deviennent invisibles au fur et à mesure. Tel un prédateur silencieux, la neige tombe sur ses proies, et les engloutit. Heure après heure, le village se retrouve entouré d'un paysage froid, blanc et inhumain, sans pourtant que les villageois n'y prêtent la moindre attention.
Les enfants accrochent ensemble des guirlandes, jouent en même temps, rient, remplissant ainsi cet univers de joie et de chaleur humaine. L'un d'entre eux s'éloigne un peu du groupe, attiré par une voix envoûtante, dépasse le panneau symbolisant la fin du village, pour se retrouver comme happé dans un autre univers, beaucoup moins plaisant que le sien, froid, et sans vie.Soudain, l'envie de rire qui l'habitait depuis le début de la journée le quitte, et il veut rentrer chez lui. Mais à peine fait il un pas vers ce qui lui semble être son village, qu'un froid encore plus insidieux et malsain s'empare de lui, et, alors que la neige le recouvre comme elle a recouvert tout le reste, les champs, les brindilles, il sent le froid s'emparer de lui, et n'a pas la force de hurler sa terreur avant de s'éteindre, silencieusement. Dans ses derniers instants, il comprend que cette neige là n'aime pas jouer, n'aime pas la chaleur, déteste la vie.
Au village, personne ne remarque tout de suite sa disparition au petit garçon, mais, un peu plus tard, ses parents, inquiets, décident de faire le tour du village en l'appelant. Ils finissent par l'entendre au loin, et avancent, décidés à le retrouver. Tout à coup, ils se retrouvent devant le panneau séparant le village de la campagne, et s'arrêtent. Le panneau semble les avertir d'un terrible danger, pourtant il n'a pas changé depuis qu'il est là. Ils entendent encore une voix les appeler, envoûtante, on dirait celle de leur fils. Sans plus hésiter, ils avancent, traversent, et arrivent dans la campagne blanchâtre. Ils sont rapidement séparés par le manteau blanc qui ne cesse de s'étendre, et poursuivant la voix invisible, ils sentent quelque chose de chaud, chacun de leur côté, et pensent s'être retrouvés. Serrant dans leurs bras cette apparente chaleur bienveillante, ils ressentent alors une morsure intense et insupportable, le froid et le mal à l'état pur, et le choc les fait tomber en arrière de surprise. Sans qu'ils n'aient plus le temps de réagir, et sans qu'ils comprennent, la neige les avalent, avançant ainsi un peu plus vers son noir dessein de mort.
Elle devient d'ailleurs de plus en plus tenace, et, alors que jusque là, le panneau semblait une limite infranchissable, elle le recouvre, le faisant disparaître. C'est ainsi que tout s'accélère, elle se met à recouvrir les toits des maisons, tombe dans les cheminées, bloque les portes, les cheminées. La calme chute de neige devient un blizzard effroyable, et les villageois, que le sourire a quitté, se barricadent chez eux, nourrissant le feu du mieux qu'ils peuvent pour repousser tant bien que mal l'envahisseur.
L'une après l'autre, la neige recouvre les maisons, en occulte les fenêtres, bloque les portes. Elle étouffe les feux, asphyxie le village tout entier.
Très rapidement, d'en haut on ne peut plus voir qu'une couche de blanc uniforme, sinistre, et mort. Dedans par contre, le combat est encore rude, les gens allument tout ce qui peut l'être, crient, appellent au secours, mais la neige étouffe les bruits, engourdit les gens, et finalement, les achève. Ceux qui ont lutté, et ceux qui ont abandonné dès le départ, tous gisent, entourés d'un linceul blanc, qui a tôt fait de les faire disparaître, ainsi que tout ce qui les entoure.
Le lendemain, alors que vous alliez rendre visite à un ami qui habite dans un village, vous avez la surprise d'arrêter votre voiture là où se trouvait l'entrée de l'agglomération, sans rien y trouver. Tout au plus une simple flaque d'eau sur la terre battue, dans laquelle vous rouler sans même y faire attention. Arrêtant la voiture sur place, vous descender et faites plusieurs fois le tour, puis, voyant que le ciel s'assombrit, vous décidez de repartir. C'est alors que la neige se met à tomber ...


Les choses du camping

Le soleil se lève, et vous vous réveillez, avec un mauvais pressentiment. Pourtant, cette journée est sensée être parfaite, et rien ne pourrait l'assombrir. C'est la première de vos vacances, avec votre conjoint en bord de mer, dans un mobilhome d'un camping très agréable, bien situé. Il fait beau, et la météo n'a prévu que du soleil pour la semaine. Pas de téléphone portable pour éviter les contraintes, et le boulot.
En vous levant, vous vous rendez compte que votre moitié est partie, laissant un mot sur la kitchenette, où un croissant encore tiède trône.
« Ne bouge pas, je te ramène quelque chose de particulier. Je t'aime »
Un sourire aux lèvres, vous prenez le croissant, préparez une boisson chaude, et vous installez à la petite table du mobilhome. Vous dévorez le croissant, et buvez tranquillement, lorsqu'un bruit sourd se fait entendre. On dirait que quelque chose est tombé sur le toit de votre mobilhome. C'est étrange, car il n'y a pas d'arbres au dessus, donc pas de branches qui puissent y tomber.
Encore en pyjama, vous allez pour ouvrir la porte du mobilhome, lorsqu'une voix froide vous lance « N'oublie pas, reste là ». Sursautant de surprise, vous vous retourner violemment, vous regardez autour de vous, mais vous êtes seul(e). Vous vérifiez dans la salle de bains, mais il n'y a personne. Après un deuxième tour, vous êtes convaincu que votre esprit vous joue des tours, et vous posez la main sur la poignée de la porte. « Ne bouge pas, j'ai dit ! » vous dit la même voix, plus menaçante.
« Ca n'a rien de drôle ce petit jeu », répondez vous d'un air exaspéré, et vous sortez, bien décidé(e) à tirer cela au clair. Le ciel semble s'être assombri, alors que la météo n'avait prévu que du beau temps. Encore une erreur de leur part.
Regardant autour du mobilhome, vous ne voyez rien de particulier, et personne. N'y comprenant plus rien, vous rentrez dans le mobilhomme, enfilez une veste sur votre pyjama, car il fait un peu frais dehors, et ressortez pour déméler cette affaire. La bonne humeur du matin vous a quitté, et vous êtes en train de penser à partir d'ici car cette mauvaise plaisanterie vous paraît excessive. Avancant sans réel but, vous vous rendez soudain compte d'un fait étrange.
Il est plutôt tard, mais il n'y a aucun bruit dans le camping. Ni discussions, ni bruits de pas, ni montages/démontages de tentes. Vous vous arrêtez au milieu du chemin, avec la chair de poule. Une pensée étrange vous traverse l'esprit #Pourquoi ne pas partir maintenant, avec la voiture ?# Il vous faut toute votre volonté pour ne pas courir au mobilhome prendre les clés et partir.
Malgré tout, quelque chose vous dit que vous devriez. Vous écartez encore cette pensée malsaine, et avancez un peu plus, lorsqu'une étrange bestiole s'approche de vous. Ca n'a pas l'air bien grand, c'est tout noir, et ca fait un bruit inquiétant. Vous reculez doucement, sans respirer, puis soupirez de soulagement lorsque la chose s'écarte pour poursuivre sa route ailleurs. C'est alors que l'horreur s'abat sur vous. Derrière la « chose », une longue trainée de sang s'étend à perte de vue. Vous n'y connaissez rien, et pourtant vous mettriez votre main au feu qu'il s'agit de sang humain.
Préférant ne pas suivre la « chose » comme vous l'appelez maintenant, vous chercher à remonter les traces de sang, appelant de temps à autre
« Ya quelqu'un ? » ; « J'ai besoin d'aide », espérant que quelqu'un vous réponde, mais seuls des croassements lugubres se font parfois entendre. Vous observez une tente à côté du chemin, et apercevez une drôle de tâche qui s'étend sur la toile. Sans chercher plus loin, vous continuez votre route, et arrivez à une bifurcation des traces de sang. Plein de traces dans tous les sens, vers les tentes, les mobilhomes, la plage. Sans savoir pourquoi, vous suivez une trace sur votre droite. Celle-ci vous mène à la boutique du camping, qui dégage une odeur insoutenable.
En y entrant, vous voyez un grand nombre d'autres « choses », toutes identiques à la première. Elles sont visiblement en train de dépecer quelque chose qui devait être un être humain avant. La scène vous révulse, et vous reculez tout en regrettant votre portable bien au chaud dans votre maison, lorsque le même bruit que vous aviez entendu en croisant la « chose » se fait entendre derrière vous.
« Oh putain, non ! » est votre dernière pensée cohérente, avant que la douleur, puis la mort ne vous submergent...


Disparition...

C'était le 31 octobre sur FoG. Un jour qu'aucun FoGois n'avait vu venir, et qu'aucun n'oublierait ensuite, tellement ce qui s'y passa fut affreux.
Le matin s'était écoulé sans aucun problème, quelques FoGois, du matin ou de l'autre côté du globe, s'étaient connectés, avaient ajouté leurs idées, puis étaient repartis. D'autres avaient pris la relève le midi, puis enfin était venu le soir, période d'activité plus intense. Chacun discutait de la série, parlait de tout et rien, certains s'amusaient sur les jeux.
Personne ne l'avait vu venir, et pourtant, le drame était là. Commencant par le header du forum, qui, sous des yeux incrédules s'était changé en un rectangle noir sur lequel se détachaient en rouge sanglant « FoG va mourir ». Pensant à une blague de leur admin préférée, vu que c'était Halloween, cela n'empêcha pas les FoGois de continuer à poster à la même cadence, et de rire de ce header.
Soudain, les uns après les autres, les sujets se verrouillaient, empêchant ainsi les FoGois de poseter, tandis que sur le Messager Sans Nom, les conversations inquiètes allaient bon train. A chaque seconde, la situation s'aggravait, et rapidement, plus personne ne put poster nulle part, pas même les modos ni les admins.
Le cauchemar était total. Du moins, c'est ce qu'en pensaient les gens, avant de recevoir ce terrible message « Ce forum fullofgrace.forumactif.com n'existe pas ». Là, les messageries s'affolent, les FoGois tremblent, l'angoisse règne sur la communauté. Chacun martyrise à sa façon sa touche F5 pour tenter d'actualiser et d'afficher une page qui n'est plus qu'un fantôme invisible du web.
Sur le fidèle Messager Sans Nom, qui a assisté dès le début à ce naufrage, le verdict tombe : « FoG n'est plus. »
Les hurlements de désespoir se font entendre à travers toute la planète, tandis qu'une ère sombre s'annonce, sans FoG....
Revenir en haut Aller en bas
bangelforever
Ecureuil Globetrotter de FOG
Ecureuil Globetrotter de FOG
bangelforever


Féminin Nombre de messages : 5504
Age : 38
Localisation : sous le soleil exactement
Date d'inscription : 30/01/2006

Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Re: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_minipostedSam 9 Déc - 2:19

yeahhhh !
merci eypichou love
bon alors le problème c'est que je sais pas encore pour qui voter ! Mr.Red
mais je vais tout relire et puis je me décide ^^
viendez voter bande de fogois froussards ! Laughing
Revenir en haut Aller en bas
http://ecureuil09.canalblog.com
QueenD
Admin revenante
Admin revenante
QueenD


Féminin Nombre de messages : 10252
Age : 38
Localisation : Prisonnière de Cixou
Date d'inscription : 31/03/2005

Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Re: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_minipostedDim 10 Déc - 22:15

J'ai voté pour EyPi parce que j'adore son style d'écriture ! Très espacé ca rend l'atmopshère particulière et puis les trois fics sont biens ! Préference pour la première qui est vraiment horrible !!!!

Ensuite j'ai hésité avec Tru, Bangie, Sophi@, Kusum tout le monde quoi Mr.Red

Surotut Bangie et Tru ! Tru parce qu'elle écrit aussi bien des trucs flippants qu'à hurler de rire et Bangie parce que sa fic était vraiment réussie ! Hell A j'ai pas envie d'y aller maintenant Mr.Red

Bravo a toutes !!! drapo
Revenir en haut Aller en bas
http://fogmag.canalblog.com
EyPi
Modératueuse
Modératueuse
EyPi


Féminin Nombre de messages : 2093
Age : 40
Localisation : Papouille son chat imaginaire
Date d'inscription : 31/03/2005

Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Re: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_minipostedMar 12 Déc - 4:05

J'ai voté pour Bangie !!
J'aime bien son histoire sur Kate avec les minutes qui défilent tout au long de la traque ^^
Mais toutes les histoires sont très bien :)
Revenir en haut Aller en bas
Tru
Fog's Renegade
Fog's Renegade
Tru


Féminin Nombre de messages : 1588
Age : 36
Localisation : Life's a bitch, but I'm worse.
Date d'inscription : 09/10/2005

Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Re: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_minipostedMar 12 Déc - 20:16

J'ai fini par me décider, et voter pour EyPi, dont j'aime beaucoup les fics, mais je trouve que toutes les fics étaient particulièrement bien (sauf les miennes, je peux pas juger ^^)
Revenir en haut Aller en bas
lindzrocks
Héroïne des feux de l'amour de FOG
Héroïne des feux de l'amour de FOG
lindzrocks


Féminin Nombre de messages : 3077
Age : 32
Localisation : Attends Agathe à Sougé avec Jo(L)
Date d'inscription : 30/03/2006

Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Re: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_minipostedMar 12 Déc - 20:46

J'ai hésité entre EyPi et Tru mais je me suis decidé et j'ai voté EyPi^^
Revenir en haut Aller en bas
http://ianonline.free.fr
bangelforever
Ecureuil Globetrotter de FOG
Ecureuil Globetrotter de FOG
bangelforever


Féminin Nombre de messages : 5504
Age : 38
Localisation : sous le soleil exactement
Date d'inscription : 30/01/2006

Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Re: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_minipostedMer 13 Déc - 5:09

merchi eypichou love
moi j'ai voté pour eypichou comme tout le monde ! Mr.Red
j'aime particulièrement la manière c'est très agréable à lire et je sais pas mais son style est vraiment super !
et sa première fic est ma préférée de toutes donc je pouvais pas faire autrement que de voter pour elle!
deuxième dans mon coeur miss tru love
Revenir en haut Aller en bas
http://ecureuil09.canalblog.com
cixi
Boucle d'or de Spike
Boucle d'or de Spike
cixi


Féminin Nombre de messages : 13506
Age : 42
Localisation : Avec spike au Bronze
Date d'inscription : 30/07/2005

Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Re: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_minipostedMer 13 Déc - 12:14

J'ai voté pour Tru ^^ J'aime beaucoup son style ! J'ai hésité avec Bangie et Eypi mais c'est Tru qui a eu ma voix !
Revenir en haut Aller en bas
zaza
Le plus grand amour de David
Le plus grand amour de David
zaza


Féminin Nombre de messages : 6648
Age : 32
Localisation : profite de la vie :p
Date d'inscription : 22/01/2006

Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Re: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_minipostedJeu 14 Déc - 20:08

voter Eypi !!
Pk ? pck tout le monde c'est que les fics de Eypi sont super géniale !!!
et en plus j'adore les lire :D
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Vote : Petits frissons entre fogois Empty
MessageSujet: Re: Vote : Petits frissons entre fogois   Vote : Petits frissons entre fogois Icon_miniposted

Revenir en haut Aller en bas
 
Vote : Petits frissons entre fogois
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Petits frissons entre fogois ...
» Petits cadeaux entre Fogois^^

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Full Of Grace :: Art Galery Of Sunnydale :: Vos créations :: Fan Fictions-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser